M.K : Je suis designer produit, mobilier et architecte d’intérieur. J’ai une agence de design basée à Marseille depuis 8 ans.
M.K : Donner un sens et une légitimité à ce qui nous entoure, raconter des histoires à travers des formes, des matériaux, des lumières.
M.K : Oui car recréer du lien avec nos objets et nos espaces, un lien d’attachement, vivre des histoires dans ces lieux entourés de ces objets nous donnera envie de les garder, de vieillir avec eux, puis de les transmettre à nos enfants.
M.K : Le Canasson est une typologie de meuble peu commune : tantôt repose pied, assise ludique, il évoque un petit cheval d’arçon que nous avons tous croisé dans notre enfance une fois. Il invoque ainsi a mémoire collective, on a l’impression de déjà le connaitre, il est donc plus facile à apprivoiser.
L’Orecchino est un grand fauteuil, il pourrait être le fauteuil géant et douillet de maman ours dans Boucle d’or, il est rassurant mais aussi élégant. Clin d’œil, il se pare d’une paire de boucles d’oreilles en laiton chromé, qui le personnifie et le sophistique.
M.K : Marseille est une ville douce, lumineuse, vivante, une ville du sud c’est évidemment très inspirant de vivre ici. On prend le temps de vivre ici, de regarder les éléments, la mer, les calanques, les gens qui vivent. Tout cela est très propice à la création.
J’aimerais beaucoup travailler sur des perspectives d’espaces plus grandes : un hôtel par exemple, je trouve que c’est une typologie d’espace qui est en extrême mutation, il y a tant à réinventer, c’est à la fois un lieu public et pourtant tellement intime et privé. C’est passionnant comme sujet.
J’adore les peintures de Garibaldi, peintre marseillais du début 19ème, la lumière de ses tableaux est encore tellement actuelle j’adore pouvoir comparer ses toiles avec la réalité du paysage d’aujourd’hui.
Une musique rassurante, du Jonasz par exemple, que l’on écoutait lors de nos trajets en voiture enfant…
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